Nutrition & santé

Triglycérides : comprendre votre taux pour protéger votre santé

Mis à jour le 23 juin 2025

Vous avez un taux de triglycérides élevé dans le sang ? Ce n’est pas si rare que ça ! Découvrez ce que sont les triglycérides, pourquoi ils augmentent et, surtout, comment agir pour maîtriser votre taux et prévenir les risques pour votre cœur et votre santé globale.

Ce qu’il faut retenir :

  • Les triglycérides sont des graisses présentes dans le sang, produites par le foie ou issues de l’alimentation.
  • Un taux élevé (au-delà de 1,5 g/L) peut majorer le risque de maladies cardiovasculaires et de pancréatite.
  • Les principales causes sont une alimentation riche en sucres et graisses, la sédentarité, l’alcool, certains médicaments ou troubles métaboliques.
  • Pour faire baisser les triglycérides, il est recommandé de limiter les sucres rapides, l’alcool et les graisses saturées, tout en augmentant l’activité physique.
  • Certains médicaments et compléments alimentaires peuvent aider à réguler les taux de triglycérides.

Triglycérides : définition simple d’un lipide vital, mais à surveiller

Que sont exactement les triglycérides ?

Les triglycérides sont des lipides, c’est-à-dire des graisses, naturellement présents dans notre organisme. Ils sont constitués de trois acides gras attachés à une molécule de glycérol, d’où leur nom.

Ils servent avant tout à stocker les calories que nous consommons en excès lorsque notre corps n’en a pas besoin immédiatement. On les retrouve dans les cellules adipeuses. En cas de besoin, ces réserves énergétiques sont mobilisées pour fournir de l’énergie à l’organisme.

D’où viennent les triglycérides ?

Les triglycérides proviennent de deux sources : notre alimentation et la synthèse naturelle par le foie. On les trouve principalement dans les aliments riches en sucres simples, en graisses saturées et en alcool. Ce sont également ces aliments, en particulier ceux qui sont riches en glucides, qui poussent le corps à transformer les calories excédentaires en triglycérides.

Différence clé entre triglycérides et cholestérol : ne les confondez plus !

Les triglycérides et le cholestérol sont deux types de lipides sanguins. Toutefois, ils ne remplissent pas les mêmes fonctions.

Les triglycérides sont avant tout une source d’énergie pour l’organisme. De son côté, le cholestérol est un composant des membranes cellulaires et sert à la production de certaines hormones et de la vitamine D.

Il est essentiel de surveiller ces deux paramètres lors d’un bilan lipidique. En effet, un excès de l’un comme de l’autre peut nuire à la santé cardiovasculaire.

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Taux de triglycérides : interpréter vos résultats d’analyse sanguine

Prise de sang pour les triglycérides : comment bien se préparer ?

Le taux de triglycérides est évalué par bilan sanguin. Pour obtenir un résultat fiable, la prise de sang se réalise à jeun, généralement le matin. La consommation de nourriture ou de boissons riches en sucres ou en graisses peut, en effet, fausser les résultats.

D’autre part, évitez la consommation d’alcool dans les 24 à 48 heures précédant la prise de sang. Informez également le laboratoire de toute prise médicamenteuse, car certains médicaments influencent le métabolisme des lipides.

Quelles sont les valeurs normales des triglycérides ?

Les normes en ce qui concerne les taux de triglycérides peuvent légèrement varier selon les laboratoires. Cependant, les seuils de référence sont généralement les suivants pour les hommes et femmes adultes :

Taux de triglycérides (à jeun)Interprétation
< 1,5 g/L (1,7 mmol/L)Normal
1,5 à 2 g/L (1,7 à 2,3 mmol/L)Limite haute
2 à 5 g/L (2,3 à 5,6 mmol/L)Élevé (hypertriglycéridémie modérée)
> 5 g/L (5,6 mmol/L)Très élevé (risque cardiovasculaire et pancréatique accru)

Si l’hypertriglycéridémie est relativement fréquente, l’hypotriglycéridémie (taux trop bas) est quant à elle rare. On ne la constate que dans des contextes médicaux particuliers de dénutrition sévère ou de troubles de l’absorption.

Hypertriglycéridémie : quand parle-t-on d’un taux de triglycérides élevé ?

On parle d’hypertriglycéridémie dès que le taux dépasse 1,5 g/L à jeun. Ce déséquilibre peut être isolé ou associé à d’autres anomalies du bilan sanguin : hypercholestérolémie, hyperglycémie, Gamma GT élevés, etc.

Un taux dépassant 5 g/L constitue, quant à lui, une urgence médicale à traiter rapidement, en raison du risque de pancréatite aiguë.

Pourquoi mes triglycérides sont élevés ? Les principales causes décryptées

L’alimentation : sucres, graisses saturées et alcool en première ligne

L’excès de triglycérides dans le sang est généralement lié à une alimentation déséquilibrée. Les glucides simples (sucres rapides) sont les plus souvent responsables, car ils sont facilement transformés en triglycérides par le foie. Les graisses saturées et l’alcool jouent également un rôle important dans leur accumulation.

Parmi les aliments qui favorisent le plus l’élévation des triglycérides, on retrouve :

  • Les produits ultra-transformés (biscuits, viennoiseries, plats préparés, fast-food)
  • Les charcuteries, viandes grasses et fromages riches
  • Les aliments frits
  • Le pain blanc et les pâtisseries
  • Les boissons sucrées (sodas, jus industriels)
  • Les boissons alcoolisées

Surpoids, obésité et sédentarité : l’impact du mode de vie.

Le surpoids, en particulier l’excès de graisse viscérale (ou graisse abdominale), est un facteur aggravant de l’hypertriglycéridémie.

La sédentarité joue également un rôle. Un manque d’activité physique réduit, en effet, l’efficacité du métabolisme des graisses et favorise le stockage d’énergie au sein des adipocytes.

Les maladies et conditions médicales qui favorisent l’élévation des triglycérides

Certaines pathologies sont également en lien avec des perturbations du métabolisme lipidique :

  • Diabète de type 2 mal équilibré
  • Syndrome métabolique (association d’une obésité abdominale et de plusieurs troubles métaboliques)
  • Hypothyroïdie qui favorise une élévation des lipides en ralentissant le métabolisme
  • Maladies rénales ou hépatiques chroniques

Prédispositions génétiques : l’hypertriglycéridémie familiale

Certaines formes d’hypertriglycéridémie sont héréditaires. Dans ce cas, on les constate souvent dès l’adolescence ou le début de l’âge adulte. Il est important de procéder à un dépistage précoce au sein des familles qui présentent ce type de problème.

Médicaments : certains traitements peuvent influencer votre taux

Certains médicaments ont pour effet indésirable d’entraîner une hausse des triglycérides :

  • Corticoïdes
  • Pilule contraceptive (notamment de 3e génération)
  • Antipsychotiques et antidépresseurs
  • Bêtabloquants
  • Rétinoïdes (traitement de l’acné)
  • Immunosuppresseurs

Lorsque cela arrive, une adaptation thérapeutique ou des mesures complémentaires peuvent être envisagées.

Cas particuliers : grossesse et triglycérides (hypertriglycéridémie gestationnelle)

Pendant la grossesse, les taux de triglycérides peuvent augmenter, en particulier au cours du troisième trimestre. Il s’agit d’une réponse aux modifications hormonales.

Toutefois, chez certaines femmes, l’élévation est beaucoup trop importante et expose à un risque accru de complications. Un suivi de la triglycéridémie est donc essentiel à effectuer en cas d’antécédents personnels ou familiaux d’hypertriglycéridémie.

Symptômes d’un excès de triglycérides : souvent silencieux, d’où l’importance du dépistage

L’hypertriglycéridémie : une menace invisible la plupart du temps

En règle générale, un taux élevé de triglycérides ne provoque aucun symptôme. On le découvre souvent de manière fortuite, lors d’une analyse sanguine de routine.

Cependant, l’absence de symptôme ne signifie pas qu’il s’agit d’un trouble à négliger pour autant. Un excès chronique de triglycérides dans le sang est associé à un risque accru de maladies cardiovasculaires et de pancréatite. Il est donc essentiel d’agir à partir du moment où il est connu.

Signes d’alerte possibles en cas de taux très élevé

Lorsque les triglycérides atteignent des niveaux très élevés, des symptômes peuvent malgré tout apparaître :

  • Formation de xanthomes, c’est-à-dire de dépôts graisseux sous la peau : souvent localisés au niveau des coudes, genoux, fesses ou paupières (xanthélasmas). On les retrouve notamment dans les cas d’hypertriglycéridémie familiale.
  • Douleurs abdominales aiguës et insupportables qui peuvent être le signe d’une pancréatite aiguë. Cette inflammation du pancréas nécessite une prise en charge médicale urgente.
  • Fatigue persistante, confusion, irritabilité : bien que non spécifiques, ces signes peuvent être présents en cas d’hypertriglycéridémie sévère.

Ces manifestations sont rares. Cependant, elles doivent pousser à consulter immédiatement un professionnel de santé pour les prendre en charge rapidement.

Hypertriglycéridémie : quels dangers pour votre santé ?

Le risque accru de maladies cardiovasculaires

Tout comme l’excès de cholestérol, un excès de triglycérides dans le sang favorise le développement de l’athérosclérose. Il s’agit d’un processus inflammatoire au cours duquel les lipides s’accumulent sur les parois des artères. Avec l’oxydation, ils forment alors des plaques qui peuvent se rompre et dont les fragments rejoignent la circulation sanguine.

Ce phénomène augmente le risque de complications cardiovasculaires majeures :

  • Infarctus du myocarde (crise cardiaque)
  • Accidents vasculaires cérébraux (AVC)
  • Artériopathie des membres inférieurs

Pancréatite aiguë : une complication grave des triglycérides très élevés

Une hypertriglycéridémie importante peut être responsable d’une pancréatite aiguë. Il s’agit d’une inflammation brutale du pancréas, souvent extrêmement douloureuse. Celle-ci peut évoluer vers des complications très graves, voire au décès, en l’absence de prise en charge rapide. Elle représente une urgence médicale absolue.

La stéatose hépatique (maladie du foie gras) et lien avec les triglycérides

L’hypertriglycéridémie est fréquemment associée à une stéatose hépatique non alcoolique (NAFLD), ou plus communément à un « foie gras ». Dans sa forme bénigne, elle est asymptomatique. Cependant, elle peut évoluer vers des formes plus graves comme la stéato-hépatite non alcoolique (ou NASH), voire vers une cirrhose ou un cancer du foie.

Association avec le syndrome métabolique : un cumul de facteurs de risque

L’élévation des triglycérides est l’un des cinq critères pouvant permettre de diagnostiquer un syndrome métabolique, aux côtés de :

  • L’hypertension artérielle
  • L’obésité abdominale
  • Une glycémie élevée (prédiabète ou diabète)
  • Un faible taux de cholestérol HDL (« bon cholestérol »)

Ce syndrome accroît significativement le risque de développer un diabète de type 2 et des maladies cardiovasculaires.

Comment faire baisser ses triglycérides naturellement et efficacement ?

Rééquilibrage alimentaire : la pierre angulaire du traitement

L’alimentation joue un rôle crucial dans la régulation du taux de triglycérides. Si votre alimentation est déséquilibrée, alors un rééquilibrage alimentaire peut vous offrir une baisse significative de la triglycéridémie.

Pour commencer, privilégiez la consommation de certains nutriments :

  • Fibres solubles (présentes dans les légumineuses, céréales complètes, fruits, légumes, graines de chia…) : elles ralentissent l’absorption des sucres et améliorent le profil lipidique.
  • Oméga-3 (disponibles dans poissons gras, huiles végétales et compléments alimentaires spécifiques) : ils aident à réduire la production hépatique de triglycérides.
  • Bonnes graisses : huile d’olive, avocat, oléagineux non salés : ces graisses insaturées sont bénéfiques pour la santé cardiovasculaire.

Parallèlement, limitez la consommation des aliments qui favorisent l’accumulation des triglycérides : sucres rapides, produits industriels, alcool, graisses trans (plats ultra-transformés, fritures, margarines industrielles).

Exemple d’une journée type :

  • Petit-déjeuner : flocons d’avoine non sucrés + compote sans sucre ajouté + quelques amandes + thé vert
  • Déjeuner : filet de saumon grillé + quinoa + légumes vapeur + huile d’olive
  • Collation : pomme + poignée de graines (noix, amandes…)
  • Dîner : soupe de lentilles corail + salade verte + avocat + pain complet
  • Hydratation : eau, tisanes, café non sucré.

Si vous avez du mal à équilibrer vos repas, n’hésitez pas à consulter un diététicien, un nutritionniste ou votre médecin traitant pour vous aider.

Activité physique régulière : quels sports et à quelle fréquence ?

L’exercice physique stimule la combustion des graisses et améliore la sensibilité à l’insuline. Or, ces deux mécanismes sont essentiels pour abaisser les taux de triglycérides.

Pour rester en bonne santé, on recommande la pratique d’une activité modérée, comme la marche, le vélo ou la natation, à raison de 150 minutes par semaine, soit 30 minutes par jour sur 5 jours. Vous pouvez fractionner cette durée autant que vous le souhaitez, l’important c’est avant tout de bouger !

Si vous préférez les activités plus intenses (course à pied, HIIT, etc.), 75 minutes par semaine suffisent.

Perte de poids : un impact direct sur la baisse des triglycérides

Une perte de poids, même modérée, si vous êtes en surpoids, peut entraîner une diminution significative des triglycérides. Le but ici est avant tout de réduire la graisse abdominale, car elle a un impact sur l’ensemble du métabolisme.

Pour y parvenir durablement, associez une alimentation équilibrée à une activité physique régulière. N’hésitez pas à vous faire accompagner par un professionnel de santé si nécessaire.

Arrêt du tabac et modération de l’alcool : des gestes essentiels

Le tabagisme altère la santé des vaisseaux sanguins, aggrave l’inflammation et perturbe l’équilibre lipidique. Son arrêt s’avère donc bénéfique à tous les niveaux, sans compter son impact sur votre respiration.

De son côté, l’alcool stimule la production hépatique de triglycérides et peut annuler les effets positifs d’un régime ou d’un traitement. Une consommation modérée, voire zéro consommation, est donc fortement recommandée.

Traitements médicaux de l’hypertriglycéridémie : quand sont-ils nécessaires ?

Quand les mesures hygiéno-diététiques ne suffisent pas : l’option médicamenteuse

Dans la majorité des cas, adopter une hygiène de vie plus saine suffit à faire réduire efficacement le taux de triglycérides.

Cependant, si après plusieurs mois ces mesures restent insuffisantes ou si les triglycérides sont très élevés dès le départ, un traitement médicamenteux peut s’avérer nécessaire pour prévenir les complications graves.

Il existe plusieurs types de médicaments utilisables dans cette perspective.

Les différentes classes de médicaments

Plusieurs catégories de médicaments peuvent être prescrites pour faire baisser le taux de triglycérides :

  • Les fibrates : souvent prescrits en première intention en cas d’hypertriglycéridémie sévère. Ils réduisent la production de triglycérides et favorisent leur élimination.
  • Les statines : principalement utilisées pour diminuer le mauvais cholestérol, ces molécules peuvent abaisser légèrement les triglycérides.
  • La niacine (vitamine B3) : à haute dose, elle agit sur les lipides sanguins, mais présente des effets secondaires potentiels qui limitent son utilisation.
  • Les oméga-3 (sur prescription médicale) : à très forte dose, les acides gras EPA et DHA peuvent réduire les triglycérides.

Le choix du traitement dépend du profil et des antécédents de chacun. C’est pourquoi il doit toujours être personnalisé par le médecin. Il doit faire l’objet d’un suivi médical rigoureux, avec des bilans sanguins réguliers.

⚠️ Avertissement : Ne jamais modifier ou interrompre un traitement sans en parler à votre médecin.

Vivre avec des triglycérides élevés : conseils pour un suivi optimal

Fréquence des bilans sanguins : à quelle fréquence contrôler son taux ?

Le suivi de l’évolution du taux de triglycérides est essentiel. En règle générale, on réalise une prise de sang tous les 3 à 6 mois pour les personnes en cours de rééquilibrage alimentaire ou sous traitement médicamenteux.

Une fois le taux stabilisé et maintenu à un niveau acceptable, une analyse sanguine tous les 6 à 12 mois suffit.

Bien sûr, cette fréquence est également à adapter en fonction des facteurs de risque associés (diabète, hypertension, antécédents familiaux) et de l’efficacité du traitement mis en place.

L’importance d’un dialogue continu avec votre médecin traitant et les spécialistes

Le suivi des triglycérides doit obligatoirement se faire avec votre médecin traitant et/ou avec les spécialistes indiqués selon votre état de santé (cardiologue, endocrinologue, diététicien-nutritionniste, etc.). Ce travail d’équipe permet de prévenir les complications et d’ajuster les actions au fil du temps.

Adopter une hygiène de vie saine sur le long terme : plus qu’un régime, un nouveau mode de vie.

La prise en charge de l’hypertriglycéridémie n’est pas ponctuelle. Elle relève d’une véritable adaptation de l’hygiène de vie à long terme. Les clés pour retrouver l’équilibre durablement sont :

  • Manger mieux, mais pas forcément moins, en privilégiant des aliments simples, naturels, riches en fibres et en bonnes graisses.
  • Bouger régulièrement, sans nécessairement pratiquer un sport intensif.
  • Éviter les excès d’alcool et de tabac.
  • Limiter au maximum le stress chronique.
  • Écouter son corps et rester attentif à ses bilans de santé.

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Questions fréquentes sur les triglycérides (FAQ)

Peut-on avoir des triglycérides élevés et un cholestérol normal (ou inversement) ?

Oui. Les triglycérides et le cholestérol sont deux types de lipides sanguins distincts. Les deux paramètres n’évoluent pas de la même manière. L’un peut être élevé tandis que l’autre reste dans les normes. D’où l’importance d’un bilan lipidique complet.

Le stress peut-il influencer mon taux de triglycérides ?

Oui. Le stress chronique peut perturber le métabolisme et augmenter la production de certaines hormones (comme le cortisol). Il peut indirectement élever les triglycérides en favorisant des comportements à risque (alimentation déséquilibrée, grignotage, sédentarité…).

Les enfants peuvent-ils avoir un taux de triglycérides élevé ?

Oui, bien qu’elle soit peu fréquente, l’hypertriglycéridémie chez l’enfant peut survenir en cas de surpoids, d’alimentation déséquilibrée ou d’antécédents familiaux.

Quels sont les meilleurs compléments alimentaires pour les triglycérides ?

Certains compléments alimentaires peuvent aider à équilibrer le profil lipidique :

⚠️ Attention : les compléments alimentaires ne peuvent en aucun cas remplacer une alimentation équilibrée et un suivi médical rigoureux. Demandez toujours l’avis de votre médecin avant toute supplémentation.

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