Les probiotiques

Existe-t-il une alternative aux ovules pour les mycoses ?

Mis à jour le 19 janvier 2024

S’ils sont efficaces et permettent de venir rapidement à bout de la mycose vaginale, les ovules antifongiques sont rarement naturels et n’apportent qu’une solution ponctuelle à l’inconfort intime. Vous souffrez de mycoses à répétition ou vous hésitez à utiliser ce type de traitement qui élimine les symptômes, mais ne règle pas le problème de fond ? Sachez qu’il est possible d’adopter une autre stratégie plus performante à long terme ! Découvrez notre alternative aux ovules contre la mycose !

Quand mettre un ovule contre la mycose intime ?

Avec la crème antimycosique, l’ovule antifongique est le traitement médicamenteux le plus souvent employé pour venir à bout d’une mycose vaginale ou vulvaire. Vous y avez peut-être déjà eu recours au moins une fois dans votre vie, comme une grande majorité de femmes. Efficace et rapide d’action, il ressemble fortement à un suppositoire. Il est pourtant bien différent, car il s’insère dans le vagin et renferme des principes actifs aidant à lutter contre les champignons microscopiques responsables de la mycose.

Atteignez vos objectifs santé

Identifiez les compléments alimentaire correspondant à vos besoins en 5 minutes et accélérez les bienfaits des compléments alimentaire & atteignez vos objectifs bien-être grâce à nos conseils

Je fais mon diagnostic

S’il a longtemps été uniquement disponible sur prescription médicale, de nombreuses références peuvent aujourd’hui être délivrées sans ordonnance en pharmacie. Mais attention, ce n’est pas parce qu’il est en vente libre qu’il faut en abuser ! Utilisé ponctuellement, l’ovule anti-mycose permet d’éliminer toute trace du Candida albicans qui a provoqué l’inconfort intime. Mais, employé trop souvent, il risque de perturber le microbiote vaginal à long terme. Or, c’est précisément le déséquilibre de cet écosystème fragile qui est à l’origine des mycoses à répétition.

Ma mycose vaginale peut-elle passer toute seule ?

Vous le savez peut-être déjà, la mycose intime apparaît lorsque les bonnes bactéries de la flore vaginale, la fameuse flore de Döderlein, ne parviennent plus à empêcher la multiplication des levures pathogènes du groupe Candida albicans. Leur prolifération est à l’origine de démangeaisons intenses et parfois insupportables, de brûlures et de pertes blanches épaisses. Et tant que l’équilibre du microbiote n’est pas rétabli, la situation ne s’améliore pas…

En résumé, une mycose vulvo-vaginale ne peut pas disparaître si vous ne mettez rien en place pour restaurer les défenses naturelles de votre sphère intime ! Il n’est cependant pas toujours nécessaire d’avoir recours aux traitements médicamenteux locaux pour en venir à bout. Adopter de nouvelles habitudes de vie et apporter des souches bactériennes bénéfiques à la microflore du vagin peuvent parfois largement suffire. Ces mesures sont même indispensables pour mettre fin aux récidives de mycose.

J’aimerais trouver une alternative naturelle aux traitements traditionnels

Vous aimeriez employer une solution plus naturelle que l’utilisation d’ovules contre les mycoses ? Eh bien, c’est tout à fait possible, et même assez simple ! La santé du microbiote intime est influencée par un certain nombre de facteurs extérieurs sur lesquels vous pouvez agir au quotidien, sans que cela vous prenne trop de temps.

Votre toilette intime, un élément clé dans la prévention des mycoses

Les bons gestes à adopter commencent dès la toilette intime. Il ne faut ni négliger votre hygiène ni trop vous laver pour préserver la population de lactobacilles peuplant votre vagin et votre vulve, et chargée de garder Candida albicans à distance. Choisissez un produit lavant doux, spécifiquement formulé pour la zone génitale et veillez à bien vous sécher après rinçage. Exit les douches vaginales qui décapent la muqueuse et la laissent sans protection contre les agents pathogènes.

Traitez votre zone intime avec douceur

Au niveau vestimentaire, préférez les matières naturelles comme le coton (bio, de préférence) ou la soie pour vos sous-vêtements. Elles sont généralement douces pour les muqueuses, mais surtout, elles les laissent respirer et empêchent la macération favorisant le développement des champignons. Pour éviter les frottements, il est aussi préférable de porter des vêtements amples. Si possible, réduisez l’utilisation de protège-slips jetables et de tampons qui assèchent les muqueuses. Il existe des alternatives plus respectueuses de la sphère génitale comme les protections hygiéniques lavables ou la coupe menstruelle.

Les moments où vous devez faire particulièrement attention

Soyez particulièrement vigilante à ces points pendant et après la prise d’un traitement antibiotique qui a tendance à détruire la flore vaginale. Les variations hormonales jouent également un rôle important dans l’apparition des mycoses. Faites donc attention si vous prenez une pilule contraceptive ou encore au moment des règles, au cours d’une grossesse ou lors du passage à la ménopause. Le diabète, un trouble de l’immunité ou une prédisposition au stress peuvent aussi favoriser la candidose.

Probio+ Intima pour limiter le recours aux ovules pour les mycoses

Cela peut paraître étonnant au premier abord, mais l’alimentation est également l’un des piliers de la prévention des mycoses intimes. Consommer des probiotiques, notamment des lactobacilles naturellement présents au sein de votre flore vaginale, vous aidera grandement à vous débarrasser définitivement des mycoses.

Conscients de l’importance de ce point pour préserver la bonne santé du microbiote intime, nous avons créé pour vous la formule Probio+ Intima. Il s’agit d’un complément alimentaire sous forme de gélules qui renferme 4 souches probiotiques particulièrement impliquées dans les défenses naturelles de vos muqueuses vaginales et vulvaires.

Il apporte notamment la souche Lactobacillus crispatus, un ferment lactique qui constitue près de la moitié de la population bactérienne bénéfique de votre zone intime. Facile à prendre, il peut être utilisé en cure pour rétablir l’équilibre physiologique du vagin et de la vulve, ou bien en programme d’entretien pour prévenir les déséquilibres permettant la prolifération de Candida albicans et vous éviter le recours aux ovules en cas de mycose.