Les probiotiques

Équilibre feminin : l’alimentation optimale et le rôle des probiotiques

Mis à jour le 29 novembre 2021

Agissons sur les causes, et non pas les symptômes d’une maladie ! Telle est ma devise pour une guérison durable et profonde.

COMPRENDRE LES INFECTIONS VAGINALES ET URINAIRES…

Une cause : l’hyperperméabilité intestinale

Agissons sur les causes, et non pas les symptômes d’une maladie ! Telle est ma devise pour une guérison durable et profonde.

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Saviez-vous que notre flore intestinale est le siège de notre immunité ? Un déséquilibre de celle-ci, appelé dysbiose, est donc souvent la cause de pathologies. De plus, elle est en relation avec notre flore vaginale, ainsi une dysbiose intestinale impactera l’écosystème vaginal.

Pourquoi a-t-on des infections vaginales ou urinaires à répétition ?

Le microbiote vaginal est fragile et de multiples facteurs peuvent le perturber : alimentation riche en sucres raffinés, prise d’antibiotiques, hygiène excessive, variations hormonales durant le cycle féminin, stress, causes psychologiques, tabagisme, sexualité non protégée, changement de partenaire etc. Les solutions médicamenteuses apportent une solution à court terme en effaçant les symptômes, mais elles ne résolvent pas le terrain, c’est pourquoi sans traitement de la cause l’infection revient.

LES PROBIOTIQUES : NOS ALLIÉS POUR UNE FLORE DIVERSIFIÉE !

Les probiotiques, c’est quoi ?

Ce sont des lactobacilles et bifidobactéries qui agissent comme protecteurs du microbiote. Une flore abondante et diversifiée booste nos défenses immunitaires, ainsi les désagréments arrivent lorsque celle-ci est déstabilisée et appauvrie.

Les probiotiques ont de multiples vertus mille fois reconnues scientifiquement. Leur but est de produire de l’acide lactique afin de maintenir le pH naturel du vagin, à savoir 4, et de redensifier le milieu en bonnes bactéries naturellement présentes, pour éviter la monopolisation par les envahisseurs !

Quelle souche probiotique pour quel problème ?

Différencions les types d’infections vaginales… La mycose (ou candidose) est due à un champignon, se développant sous forme de levure, appelé Candida albicans et se manifeste par des pertes blanches, épaisses et inodores. La vaginose bactérienne est le plus souvent due à une bactérie nommée Gardnerella vaginalis, présente parmi une flore poly-bactérienne diversifiée, et se reconnaît par des pertes malodorantes.

  1. crispatusest la souche de premier choix car elle est efficace en cas de vaginose et mycose,L. rhamnosus est plus spécifique contre les mycoses. L’association des deux constitue le traitement optimal !

Enfin, il a été scientifiquement démontré que ces deux souches ainsi que L. reuteri colonisaient en majeure partie la flore vaginale. Le traitement Probio+ Intima d’Apyforme a justement été pensé afin de réunir ces 3 souches ainsi que L. acidophilus, aussi présente dans l’intestin et luttant contre la porosité intestinale.

COMMENT TRAITER LA DYSBIOSE VAGINALE ?

Un traitement probiotique sur-mesure !

L’hyperperméabilité intestinale affaiblissant nos défenses immunitaires et favorisant les processus pro-inflammatoires, il est important de subvenir aux besoins de cette flore avec des probiotiques et prébiotiques (fibres des fruits et légumes), des acides aminés (dont glutamine et arginine), des omégas 3 anti-inflammatoires, des antioxydants (dont le super curcuma !) et un maximum de micronutriments.

La durée et la fréquence du traitement probiotique dépend de la cause de la dysbiose. Si les symptômes apparaissent chaque mois, cela peut être lié au cycle menstruel et il conviendra de prendre des probiotiques la semaine avant ou après les menstruations. Dans les autres cas, le mieux reste de les prendre quotidiennement pendant minimum 3 mois (6 mois étant optimal) pour assurer un rééquilibre durable.

Une alimentation et une hygiène de vie adaptée…

En prévention, on évitera de s’exposer aux facteurs de risque en adoptant une alimentation non raffinée, en privilégiant des traitements naturels quand cela est possible et en travaillant sur la gestion du stress. Les savons naturels (savon d’Alep, par exemple) sont intéressants pour l’hygiène du quotidien. Les vêtements serrés sont déconseillés. Enfin, aller aux toilettes après un rapport sexuel est favorable à l’éviction des cystites.

Dans le cas particulier du Candida albicans responsable des mycoses vaginales, celui-ci se développant sous forme de levure, il convient d’éviter au possible la levure de boulanger, la levure nutritionnelle et les boissons fermentées fabriquées à partir d’une culture de levures (bière, kombucha, vin). En période de crise, on évitera aussi les aliments à risque de moisissures (oléagineux principalement).

Aussi, repérez vos intolérances alimentaires si vous souffrez de maux intestinaux ! Celles-ci contribuent aux phénomènes pro-inflammatoires.